1re édition, tome 1, page 43
1re édition
APERITIF, IVE.
adj.
■
Terme de Medecine, qui ouvre & qui desbouche. Remede laxatif & aperitif. ptisane aperitive.
2e édition, tome 1, page 70
2e édition
APERITIF, IVE.
adj.
■
Terme de Medecine. Qui ouvre & qui desbouche le ventre. Remede laxatif & aperitif. ptisane aperitive.
3e édition, tome 1, page 72
3e édition
APÉRITIF, IVE.
adj.
■
Terme de Médecine. Qui ouvre & qui débouche le ventre. Reméde laxatif & apéritif. Tisane apéritive.
4e édition, tome 1, page 80
4e édition
APÉRITIF, IVE.
adj.
■
Terme de Médecine. Qui ouvre & qui débouche le ventre. Remède laxatif & apéritif. Tisane apéritive.
5e édition, tome 1, page 64
5e édition
APÉRITIF, IVE.
adj.
■
Terme de Médecine. Qui facilite les sécrétions et les déjections, et qui ouvre et désobstrue.
Remède laxatif et apéritif. Tisane apéritive.
Il se prend aussi substantivement. Les Apéritifs poussent ordinairement par les urines.
6e édition, tome 1, page 83
6e édition
APÉRITIF, IVE.
adj.
■
T. de Médec. Nom générique des médicaments propres à entretenir la liberté des voies biliaires, urinaires, etc.
Remède apéritif. Tisane apéritive.
Il s’emploie aussi substantivement. Les apéritifs provoquent ordinairement les urines.
7e édition, tome 1, page 80
7e édition
APÉRITIF, IVE.
adj.
■
T. de Médec. Nom générique des médicaments propres à ouvrir les pores, à rendre les humeurs plus fluides, à faciliter le mouvement des liquides, etc.
Remède apéritif. Tisane apéritive.
Il s’emploie aussi substantivement. Les apéritifs provoquent ordinairement l’appétit.
8e édition, tome 1, page 63
8e édition
APÉRITIF, IVE.
adj.
■
Qui provoque l’appétit.
Liqueur apéritive.
Il est le plus souvent employé comme nom masculin et désigne une Liqueur considérée comme un stimulant pour l’appétit. Faire usage, abuser des apéritifs.
APÉRITIF, APÉRITIVE
adjectif et nom
Étymologie : xiiie siècle. Emprunté du bas latin aper(i)tivus, dérivé de apertum, supin de aperire, « ouvrir ».
1.
Adj.
Qui stimule ou est censé stimuler l’appétit.
Boisson apéritive.
Liqueur apéritive.
2.
N. m.
Boisson, le plus souvent alcoolisée, que l’on consomme avant de prendre un repas.
Servir, prendre l’apéritif.
C’est l’heure de l’apéritif.
4e édition, tome 1, page 137
4e édition
AUTOPSIE.
s. f.
■
Contemplation. On désignoit par ce terme la cérémonie la plus auguste des anciens mystères, par laquelle les Initiés se flattoient d’être admis à contempler la Divinité.
5e édition, tome 1, page 103
5e édition
AUTOPSIE.
s. f.
■
Vision intuitive des Mystères. On désignoit par ce terme la cérémonie la plus auguste des anciens Mystères, par laquelle les Initiés se flattoient d’être admis à contempler la Divinité.
6e édition, tome 1, page 134
6e édition
AUTOPSIE.
s. f.
■
Vision intuitive ; état de l’âme dans lequel, suivant les païens, on avait un commerce intime avec la divinité.
■
Autopsie, en termes de Médecine, Inspection de toutes les parties d’un cadavre, examen de l’état où elles se trouvent. On a ordonné l’autopsie de ce cadavre. L’autopsie n’a fourni aucune preuve d’empoisonnement. Procès-verbal d’autopsie.
7e édition, tome 1, page 130
7e édition
AUTOPSIE.
s. f.
■
Vision intuitive ; état de l’âme dans lequel, suivant les païens, on avait un commerce intime avec la divinité.
■
Autopsie, en termes de Médecine, Inspection de toutes les parties d’un cadavre, examen de l’état où elles se trouvent. On a ordonné l’autopsie de ce cadavre. L’autopsie n’a fourni aucune preuve d’empoisonnement. Procès-verbal d’autopsie.
8e édition, tome 1, page 102
8e édition
AUTOPSIE.
n. f.
■
T. de Médecine. Inspection de toutes les parties d’un cadavre, examen de l’état où elles se trouvent. On a ordonné l’autopsie de ce cadavre. L’autopsie n’a fourni aucune preuve d’empoisonnement. Procès-verbal d’autopsie. Traces relevées à l’autopsie.
AUTOPSIE
nom féminin
Étymologie : xvie siècle. Emprunté du grec autopsia, « action de voir de ses propres yeux ».
Marque de domaine : médecine.
Dissection d’un cadavre et examen détaillé des viscères en vue de déterminer les causes de la mort, ou à des fins scientifiques.
Le juge a ordonné l’autopsie de la victime.
L’autopsie n’a révélé aucune trace de poison.
Procès-verbal d’autopsie.
1re édition, tome 1, page 138
1re édition
[I.] CADEAU.
s. m.
■
Un trait de plume grand & hardy, qui se fait sans lever la main & marque quelque figure.
Faire des cadeaux.
On dit aussi, Si vous le laissez faire, il vous fera de beaux cadeaux, pour dire, Il vous fera des frais ou des despenses excessives.
1re édition, tome 1, page 138
1re édition
[II.] CADEAU.
s. m.
■
Repas, feste que l’on donne principalement à des Dames. Donner un grand cadeau.
2e édition, tome 1, page 198
2e édition
[I.] CADEAU.
s. m.
■
Un trait de plume grand & hardy, qui se fait sans lever la main, & marque quelque figure. Faire des cadeaux.
2e édition, tome 1, page 198
2e édition
[II.] CADEAU.
s. m.
■
Repas, Feste que l’on donne principalement à des Dames.
Donner un grand cadeau.
On dit, Si vous le laissez faire, il vous fera de beaux cadeaux, pour dire, Il vous fera des frais ou des despenses excessives.
3e édition, tome 1, page 211
3e édition
[I.] CADEAU.
s. m.
■
Un trait de plume grand & hardi, qui se fait sans lever la main, & marque quelque figure. Faire des cadeaux.
3e édition, tome 1, page 211
3e édition
[II.] CADEAU.
s. m.
■
Repas, Fête que l’on donne principalement à des Dames.
Donner un grand cadeau.
On dit figur. & fam. dans le même sens : Je m’en fais un grand cadeau, pour dire, Je m’en promets un grand plaisir.
On dit aussi fig. & fam. Si vous le laissez faire, il vous fera de beaux cadeaux, pour dire, Il vous fera des frais, ou des dépenses excessives.
4e édition, tome 1, page 230
4e édition
CADEAU.
s. m.
■
Un trait de plume grand & hardi, qui se fait sans lever la main, & qui marque quelque figure.
Faire des cadeaux.
■
Cadeau. s. m. Repas, fête que l’on donne principalement à des Dames.
Donner un grand cadeau.
On dit figurément & familièrement dans le même sens, Je m’en fais un grand cadeau, pour dire, Je m’en promets un grand plaisir.
5e édition, tome 1, page 184
5e édition
CADEAU.
s. mas.
■
Repas, fête que l’on donne principalement à des femmes.
Donner un grand cadeau.
Il se dit aussi d’Un petit présent. Il m’a fait cadeau d’une bague, d’une boîte.
On dit, Faire un cadeau à quelqu’un, pour dire, Faire ou donner à quelqu’un quelque chose qui lui soit agréable.
On dit figurément et familièrement dans le même sens, Je m’en fais un grand cadeau, pour dire, Je m’en promets un grand plaisir.
6e édition, tome 1, page 244
6e édition
CADEAU.
s. m.
■
Repas, fête que l’on donne principalement à des femmes.
Donner un grand cadeau. Dans ce sens, il a vieilli.
Il se dit aussi d’Un petit présent, d’une chose que l’on donne à quelqu’un dans l’intention de lui être agréable. Il m’a fait cadeau d’une bague, d’une boîte. Il m’a fait un joli cadeau.
7e édition, tome 1, page 235
7e édition
CADEAU.
s. m.
■
Repas, fête que l’on donne principalement à des femmes.
Donner un grand cadeau. Dans ce sens, il a vieilli.
Il se dit aussi d’Un petit présent, d’une chose que l’on donne à quelqu’un dans l’intention de lui être agréable. Il m’a fait cadeau d’une bague, d’une boîte. Il m’a fait un joli cadeau. Les petits cadeaux entretiennent l’amitié.
8e édition, tome 1, page 183
8e édition
CADEAU.
n. m.
■
Présent, objet que l’on donne à quelqu’un dans l’intention de lui être agréable. Il m’a fait cadeau d’une bague, d’une boîte. Les petits cadeaux entretiennent l’amitié.
CADEAU
nom masculin
Étymologie : xve siècle. Emprunté de l’ancien provençal capdel, « personnage placé en tête, capitaine », et sans doute aussi « lettre capitale », du latin capitellus, « petite tête ».
Présent, objet que l’on donne à quelqu’un dans l’intention de lui être agréable.
Offrir un cadeau.
Combler, couvrir quelqu’un de cadeaux.
Il m’a fait cadeau d’une bague, d’un livre.
En apposition. Fam.
Papier cadeau, destiné à emballer des cadeaux.
Expr. fig. et fam.
Un cadeau empoisonné, qui procurera plus d’ennuis que de satisfactions.
Ne pas faire de cadeaux à quelqu’un, se montrer exigeant et dur envers lui.
Prov. Les petits cadeaux entretiennent l’amitié.
1re édition, tome 1, page 336
1re édition
DISQUE.
s. m.
■
Un rond qui est ou qui nous paroist de figure plate. Terme dogmatique qui ne se dit guere que des Astres. Le disque du soleil. le disque de la lune.
2e édition, tome 1, page 488
2e édition
DISQUE.
s. m.
Sorte de palet que les Anciens dans leurs jeux, & dans leurs exercices jettoient en l’air pour faire paroistre leur force & leur adresse.
Ce terme n’est guere en usage qu’en parlant des Astres ; parce qu’à nos yeux ils paroissent ronds & plats comme un disque. Le disque du Soleil. le disque de la Lune.
3e édition, tome 1, page 512
3e édition
DISQUE.
s. m.
Sorte de palet que les Anciens dans leurs jeux, & dans leurs exercices jetoient au loin pour faire paroître leur force & leur adresse.
Ce terme est aussi en usage en parlant des Astres : parce qu’à nos yeux ils paroissent ronds & plats comme un disque. Le disque du Soleil. Le disque de la Lune.
4e édition, tome 1, page 545
4e édition
DISQUE.
s. m.
Sorte de palet que les Anciens dans leurs jeux & dans leurs exercices jetoient au loin, pour faire paroître leur force & leur adresse.
Ce terme est aussi en usage en parlant des Astres, parce qu’à nos yeux ils paroissent ronds & plats comme un disque. Le disque du Soleil. Le disque de la Lune.
■
Disque, en termes de Botanique, se dit de la partie des fleurs radiées qui en occupe le centre.
5e édition, tome 1, page 431
5e édition
DISQUE.
s. m.
Sorte de palet que les Anciens dans leurs jeux et dans leurs exercices jetoient au loin, pour faire paroître leur force et leur adresse.
Ce Terme est aussi en usage en parlant Des Astres, parce qu’à nos yeux ils paroissent ronds et plats comme un disque. Le disque du Soleil. Le disque de la Lune.
■
Disque, en termes de Botanique, se dit De la partie des fleurs radiées qui en occupe le centre.
6e édition, tome 1, page 562
6e édition
DISQUE.
s. m.
■
Sorte de palet que les anciens, dans leurs jeux et dans leurs exercices, jetaient au loin, pour faire paraître leur force et leur adresse.
Lancer le disque. Un disque de cuivre, de plomb, etc.
Il se dit, par analogie, de Ce qui ressemble à un disque, et surtout de La surface visible des grands astres, qui, à nos yeux, paraissent ronds et plats. Le disque du soleil. Le disque de la lune.
Il se dit, par extension, en Botanique, de La partie des fleurs radiées qui en occupe le centre, ou de La partie élargie et membraneuse d’une feuille. Le disque d’une fleur. Le disque d’une feuille est ordinairement traversé dans sa longueur par la nervure principale.
7e édition, tome 1, page 555
7e édition
DISQUE.
s. m.
■
Sorte de palet que les anciens, dans leurs jeux et dans leurs exercices, jetaient au loin, pour faire paraître leur force et leur adresse.
Lancer le disque. Un disque de cuivre, de plomb, etc.
Il se dit par analogie, de Ce qui ressemble à un disque et surtout de La surface visible des grands astres, qui, à nos yeux, paraissent ronds et plats. Le disque du soleil. Le disque de la lune.
Il se dit, par extension, en Botanique, de La partie des fleurs radiées qui en occupe le centre, ou de La partie élargie et membraneuse d’une feuille. Le disque d’une fleur. Le disque d’une feuille est ordinairement traversé dans sa longueur par la nervure principale.
En Termes de Chemin de fer, il se dit d’Une sorte de plaque tournante, rouge d’un côté et blanche de l’autre, qui indique par sa couleur que la voie est libre ou ne l’est pas.
8e édition, tome 1, pages 405-406
8e édition
DISQUE.
n. m.
■
T. d’Antiquité. Lourd palet de pierre ou de fer qu’en Grèce on jetait au loin, pour faire paraître sa force et son adresse.
Lancer le disque.
Il se dit, par analogie, de la Surface visible des grands astres, qui, à nos yeux, paraissent ronds et plats. Le disque du soleil. Le disque de la lune.
Il se dit, par extension, en termes de Botanique, de la Partie des fleurs radiées qui en occupe le centre, ou de la Partie élargie et membraneuse d’une feuille. Le disque d’une fleur. Le disque d’une feuille est ordinairement traversé dans sa longueur par la nervure principale.
En termes de Chemins de fer, il se dit d’une Plaque tournante, qui indique par sa position et sa couleur que la voie est libre ou ne l’est pas. Siffler au disque se dit d’un Mécanicien qui, voyant la voie fermée, fait siffler la vapeur pour manifester sa présence.
DISQUE
nom masculin
Étymologie : xvie siècle, comme synonyme de discobole ; peu usuel avant le xviie siècle. Emprunté du latin discus, « disque, palet », du grec diskos. Au sens 5, a subi l’influence de l’anglais disc (xixe siècle).
I.
I. Marque de domaine : athlétisme. Dans l’antiquité grecque, lourd palet, souvent en métal, quelquefois en bois, que lançaient les athlètes.
Aujourd'hui.
Palet de bois ou de matière plastique, cerclé de fer, ayant des dimensions déterminées et pesant deux kilos pour les épreuves masculines, qui est en usage pour des épreuves de lancer.
Le lancer du disque ou, par métonymie, le disque est une épreuve des Jeux olympiques.
II.
II. Par analogie.
Tout objet, soit naturel, soit artificiel, toute partie d’un objet qui présente la forme d’un cercle.
1.
Marque de domaine : astronomie.
Surface visible des grands astres.
Le disque solaire.
Le disque de la pleine Lune.
2.
Marque de domaine : anatomie.
Disque intervertébral, formation fibro-cartilagineuse qui s’intercale entre deux vertèbres voisines et en assure l’articulation.
– Marque de domaine : zoologie.
Région de l’œuf à partir de laquelle se forme l’embryon.
Le disque germinatif d’un œuf d’oiseau.
– Marque de domaine : botanique.
Protubérance en forme de bourrelet, d’anneau ou de glandes distinctes entourant la base de l’ovaire sur une fleur.
3.
Marque de domaine : mécanique.
Plaque circulaire de faible épaisseur.
Disque abrasif, élément mobile d’une ponceuse.
– Marque de domaine : automobile.
Frein à disque, système dans lequel le freinage est obtenu par serrage d’un disque solidaire de la roue.
Disque d’embrayage, qui assure la liaison entre le moteur et les organes de transmission.
4.
Panneau ou panonceau circulaire.
Marque de domaine : chemin de fer.
Moyen de signalisation constitué d’une plaque qui, selon la face présentée, indique si la voie est libre ou non.
Siffler au disque, demander par un appel sonore que la voie fermée soit libre à nouveau pour le passage du convoi.
– Marque de domaine : automobile.
Disque de stationnement, carton règlementaire qui indique, sur un cadran circulaire, l’heure d’arrivée d’un véhicule et la durée autorisée de son stationnement.
5.
Disque phonographique, vieilli et, aujourd'hui, elliptiquement, disque, plaque mince et circulaire, de matière variable, qui porte la gravure d’un enregistrement sonore.
Les faces, les plages d’un disque.
Un disque 78 tours, 45 tours, 33 tours ou elliptiquement, un 78 tours, un 45 tours, un 33 tours, selon la vitesse de rotation à la minute exigée pour la lecture.
Disque microsillon ou, elliptiquement, microsillon, où l’enregistrement est gravé sur les sillons très rapprochés, par opposition au disque 78 tours fabriqué antérieurement.
Disque compact, disque de taille réduite, à codage numérique, dont la lecture se fait sans frottement mécanique par un système optique.
Disque vidéo, disque lu par rayon laser et transmettant, outre les sons, des images sur l’écran d’un récepteur de télévision (on dit aussi Vidéodisque).
Loc. fig. et fam.
Change de disque ! cesse de répéter la même chose !
6.
Marque de domaine : informatique.
Disque magnétique, disque qui a pour principe la magnétisation, et est utilisé en informatique pour l’enregistrement et la restitution de données.
Le disque dur d’un ordinateur permet de stocker autant de données que plusieurs dizaines de disquettes.
III.
III. Marque de domaine : géométrie. Ensemble des points compris à l’intérieur d’un cercle.
Disque fermé, quand les points de la circonférence appartiennent à l’ensemble ; disque ouvert, quand ils en sont exclus.
1re édition, tome 1, page 476
1re édition
FORMIDABLE.
adj. de t. g.
■
Redoutable, qui est à craindre, C’est un homme formidable. c’est la chose du monde la plus formidable. une puissance formidable. des troupes formidables. il s’est rendu formidable par la rapidité de ses conquestes.
2e édition, tome 1, page 681
2e édition
FORMIDABLE.
adj. de tout genre.
■
Redoutable, qui est à craindre. C’est un homme formidable. c’est la chose du monde la plus formidable. une puissance formidable. des troupes formidables. il s’est rendu formidable par la rapidité de ses conquestes.
3e édition, tome 1, page 713
3e édition
FORMIDABLE.
adj. de tout genre.
■
Redoutable, qui est à craindre. C’est un homme formidable. C’est la chose du monde la plus formidable. Une puissance formidable. Des troupes formidables. Il s’est rendu formidable par la rapidité de ses conquêtes.
4e édition, tome 1, page 767
4e édition
FORMIDABLE.
adj. de t. g.
■
Redoutable, qui est à craindre. C’est un homme formidable. C’est la chose du monde la plus formidable. Une puissance formidable. Des troupes formidables. Il s’est rendu formidable par la rapidité de ses conquêtes.
5e édition, tome 1, page 603
5e édition
FORMIDABLE.
adj. des 2 g.
■
Redoutable, qui est à craindre. C’est un homme formidable. C’est la chose du monde la plus formidable. Une puissance formidable. Des troupes formidables. Il s’est rendu formidable par la rapidité de ses conquêtes.
6e édition, tome 1, page 784
6e édition
FORMIDABLE.
adj. des deux genres.
■
Redoutable, qui est à craindre, ou qui inspire une grande crainte. C’est un homme formidable. C’est la chose du monde la plus formidable. Cette armée avait un aspect formidable. Une puissance formidable. Des troupes formidables. Il s’est rendu formidable par la rapidité de ses conquêtes. Ils se rendirent formidables à leurs voisins.
7e édition, tome 1, page 775
7e édition
FORMIDABLE.
adj. des deux genres.
■
Redoutable, qui est à craindre, ou qui inspire une grande crainte. C’est un homme formidable. C’est la chose du monde la plus formidable. Cette armée avait un aspect formidable. Une puissance formidable. Des troupes formidables. Il s’est rendu formidable par la rapidité de ses conquêtes. Ils se rendirent formidables à leurs voisins.
8e édition, tome 1, page 561
8e édition
FORMIDABLE.
adj. des deux genres.
■
Qui inspire ou qui est de nature à inspirer une très grande crainte. C’est la chose du monde la plus formidable. Une puissance formidable. Cette armée est formidable. Un coup de tonnerre formidable.
FORMIDABLE
adjectif
Étymologie : xive siècle. Emprunté du latin formidabilis, « qui inspire la crainte », dérivé de formido, « épouvantail ; effroi, terreur ».
1.
Class.
Qui inspire une grande crainte ou est de nature à l’inspirer.
L’aspect formidable des guerriers francs.
La masse formidable d’un donjon.
2.
Qui étonne par son intensité, sa puissance, sa taille.
Un appétit formidable.
Un vacarme formidable.
Une foule formidable.
▪ Fam. et le plus souvent par exagération.
Pour exprimer l’admiration, l’approbation.
Un livre, un film formidable.
Dans cette affaire, il a été formidable.
3e édition, tome 2, page 326
3e édition
PHARAON.
s. m.
■
Espèce de jeu des cartes, qui se joue à peu près comme la Bassette.
4e édition, tome 2, page 363
4e édition
PHARAON.
s. m.
■
Espèce de jeu de cartes, qui se joue à peu près comme la Bassette.
5e édition, tome 2, page 278
5e édition
PHARAON.
sub. mas.
■
Jeu de cartes, qui se joue à peu près comme la Bassette.
6e édition, tome 2, page 405
6e édition
PHARAON.
s. m.
■
Jeu de hasard qui se joue avec des cartes.
7e édition, tome 2, page 409
7e édition
[I.] PHARAON.
s. m.
■
Nom commun, ou titre par lequel on désigne Les souverains de l’ancienne Égypte, avant la conquête de ce pays par les Perses.
7e édition, tome 2, page 409
7e édition
[II.] PHARAON.
s. m.
■
Jeu de hasard qui se joue avec des cartes.
8e édition, tome 2, page 334
8e édition
[I.] PHARAON.
n. m.
■
Titre par lequel on désigne les Souverains de l’ancienne Égypte, avant la conquête de ce pays par les Perses.
8e édition, tome 2, page 334
8e édition
[II.] PHARAON.
n. m.
■
Jeu de cartes. Jouer au pharaon.
PHARAON
nom masculin
Étymologie : xiie siècle. Emprunté, par l’intermédiaire du latin, du grec pharaô, titre des rois d’Égypte, puis nom propre de tout roi d’Égypte, lui-même emprunté, par l’intermédiaire de l’hébreu, de l’égyptien peraa, « grande maison, palais », et, par métonymie, « roi ».
1.
Titre donné aux souverains de l’Égypte antique, détenteurs du pouvoir absolu.
Les tombes des pharaons Ramsès II et Toutankhamon se trouvent dans la vallée des Rois.
Le sarcophage, la momie d’un pharaon.
Au temps des pharaons.
2.
Anciennement.
Jeu de hasard en vogue au xviiie siècle, où les gains des joueurs sont déterminés par la valeur des deux cartes retournées par le banquier à chaque tour.
Le pharaon doit son nom au roi de cœur, qu’on appelait ainsi dans certains jeux de cartes.
1re édition, tome 2, page 355
1re édition
QUESTIONNAIRE.
s. m.
■
Celuy qui donne la question aux accusez.
2e édition, tome 2, page 404
2e édition
QUESTIONNAIRE.
subst. m.
■
L’Officier qui donne la question aux accusez.
3e édition, tome 2, page 466
3e édition
QUESTIONNAIRE.
subst. masc.
■
Celui qui donne la question aux criminels.
4e édition, tome 2, page 512
4e édition
QUESTIONNAIRE.
s. m.
■
Celui qui donne la question aux criminels.
5e édition, tome 2, page 398
5e édition
QUESTIONNAIRE.
subst. mascul.
■
Celui qui donne la question aux criminels.
6e édition, tome 2, page 543
6e édition
QUESTIONNAIRE.
s. m.
■
Celui qui donnait la question aux accusés et aux condamnés.
7e édition, tome 2, page 546
7e édition
[I.] QUESTIONNAIRE.
s. m.
■
Celui qui donnait la question aux accusés et aux condamnés.
7e édition, tome 2, page 546
7e édition
[II.] QUESTIONNAIRE.
s. m.
■
Série de questions dont le but est de diriger une enquête. Le ministre de l’intérieur a envoyé un questionnaire à tous les préfets.
8e édition, tome 2, page 443
8e édition
[I.] QUESTIONNAIRE.
n. m.
■
Celui qui donnait la question aux accusés.
8e édition, tome 2, page 443
8e édition
[II.] QUESTIONNAIRE.
n. m.
■
Liste de questions méthodiquement posées aux fins d’une enquête, en vue d’un examen. Le ministre de l’Intérieur a envoyé un questionnaire à tous les préfets. Répondre à un questionnaire.
I. QUESTIONNAIRE
Prononciation : (t se fait entendre distinctement) nom masculin
Étymologie : xvie siècle. Emprunté du latin médiéval quaestionarius, « bourreau », puis « questionnaire ; catéchisme ».
Liste de questions méthodiquement posées pour mener une enquête, dans le cours d’un examen ; document, imprimé reproduisant cette liste.
Répondre à un questionnaire.
Le dépouillement d’un questionnaire.
Un questionnaire à choix multiple ou, par abréviation, un Q.C.M., qui demande pour chaque question un choix entre plusieurs réponses possibles.
II. QUESTIONNAIRE
Prononciation : (t se fait entendre distinctement) nom masculin
Étymologie : xviie siècle. Emprunté du latin médiéval quaestionarius, « bourreau », lui-même dérivé de quaestio, « recherche ; enquête, interrogatoire » et, spécialement, « torture pour obtenir des aveux ».
Marque de domaine : droit ancien. Vieilli.
Celui qui soumettait l’accusé ou le condamné au supplice de la question.